Que soigne le barreur de feu ?

2/ Douleurs
de type brûlure

Le coupeur ou barreur de feu est celui ou celle qui stoppe les dommages d’une brûlure et enlève la douleur. Nous répertorions ici les maladies entraînant les douleurs de type brûlure que nous soignons.

 « Que soigne le barreur de feu ? »

Les barreurs de feu sont efficaces et soulagent très rapidement :

1/ les brûlures et les radiothérapie,

Le constat est évident, le soin d’un barreur de feu dure environ 5 minutes, il peut être fait immédiatement et y compris à distance, la douleur s’estompe et disparaît souvent en moins de 10 minutes, et cela permet d’accélérer la cicatrisation des brûlures.

L’efficacité sur la réduction de la douleur des brûlures induirait que nous pourrions avoir le même résultat avec toutes les douleurs de type « brûlure ». C’est le cas.

Nous répondons donc dans ce deuxième chapitre que nous pouvons soigner  :

2/ toutes les douleurs de type « brûlure » consécutives aux maladies et traitement des maladies.

Cependant, si les soins des barreurs de feu sont efficaces et rapides pour les brûlures thermiques et consécutives aux radiothérapies, notre efficacité varie davantage pour les douleurs de type « brûlure ».

Nous évaluons nos soins, pour mieux vous informer et pour progresser.

Nous mettrons ici pour chaque maladie et type de brûlure répertoriés :

  • Les témoignages de nos clients,
  • Les mesures significatives.

Nous répertorions ici les maladies entraînant les douleurs de type « brûlure » que nous soignons.

Répertoire des maladies et traitements entraînant les douleurs de type brûlure que nous soignons.

Quelques repères pratiques :

Ce sont :

  • maladies auto-immunes,
  • Maladies inflammatoires,
  • Symptômes et maladies désignés par des termes finissant par le suffixe « ite » (enflammé),
  • Maladies et symptômes dont le traitement utilise des anti-inflammatoires,
  • Maladies pour lesquelles on parle d’éruption.

Pathologies inflammatoires,
les maladies auto-immunes :

Ensemble de phénomènes de défense de l’organisme contre une agression (traumatisme, infection, etc…), pouvant se manifester par divers signes (douleur, tuméfaction, chaleur, rougeur, etc.) (Larousse).

Ce sont les « maladies auto-immunes ».

Quelques exemples des maladies auto immunes : Psoriasis, sclérose en plaques, polyarthrite rhumatoïde, diabète de type 1, lupus, maladies inflammatoires chroniques de l’intestin (MICI) comme la maladie de Crohn, syndrome de Guillain Barré, vitiligo, La maladie de Basedow (hyperthyroïdie)…

Ces pathologies de composantes inflammatoires, souvent asymptomatiques au début de la maladie, ont tendance à se chroniciser et à devenir cliniquement significatives (rougeur, gonflement, douleur…).

Polyarthrite rhumatoïde

Maladie auto-immune qui s’attaque aux articulations, causant de l’inflammation, de la douleur et une raideur.

https://www.santemagazine.fr/sante/fiche-maladie/polyarthrite-rhumatoide-177713 

Sclérose en plaques (SEP)

Maladie inflammatoire dégénérative chronique du système nerveux central (comprenant le cerveau, les nerfs optiques, la moelle épinière et le cervelet) invalidante.

Nous ne détaillerons pas ici toutes les manifestations possibles de la maladie mais les symptômes incluent souvent une faiblesse musculaire, des sensations de brûlure, des engourdissements, des douleurs chroniques, un mauvais équilibre et une mauvaise coordination, et… de la fatigue.

Zona

Maladie due à la réactivation du virus varicelle-zona.

L’éruption peut atteindre différentes parties du corps.

Les symptômes, sont des douleurs lancinantes et intenses, des sensations de brûlures, des éruptions cutanées (vésicules groupées en bouquets), des ganglions.

Le zona guérit en général en 2 à 3 semaines. Toutefois, certaines complications peuvent apparaître, comme des douleurs persistantes pouvant durer plus de six mois, surinfection bactérienne des plaies et extension sur plusieurs zones du corps.

Chimiothérapie et Radiothérapie

Les deux traitements sont actuellement utilisés et, bien qu’ils cherchent tous deux à soigner le cancer, il existe de nombreuses différences qui les distinguent : administration, finalité, effets secondaires, temps…

  • La chimiothérapie utilise des médicaments de chimiothérapie qui s’associent entre eux pour la culmination du cancer. Pouvant provoquer différents symptômes.
  • La radiothérapie consiste à délivrer localement des rayons, ou radiations ionisantes, qui en traversant les tissus non malades provoquant des douleurs et une inflammation. Cela se traduit par des sensations d’échauffement ou de brûlure dans la zone irradiée, en particulier à la surface de la peau ou au niveau des muqueuses. Si les rayons traversent le tube digestif, ils peuvent provoquer des vomissements, des diarrhées ou des crampes au niveau de l’estomac et de l’intestin. Des problèmes de peau et au niveau des ongles peuvent aussi subvenir.

Les effets indésirables cutanés des traitements :

Les traitements des cancers comme surtout les chimiothérapies, peuvent entraîner la survenue de différents effets indésirables touchant la peau et les ongles. Ces effets indésirables ont rarement des conséquences pour la santé mais ils peuvent retentir sur la qualité de vie, notamment lorsqu’ils sont visibles.

La chimiothérapie agit essentiellement sur les cellules qui se renouvellent rapidement puisque c’est l’une des caractéristiques des cellules cancéreuses. Toutefois, ce renouvellement rapide concerne également d’autres cellules, en particulier celles de la peau, des cheveux et des ongles. Cela explique que les chimiothérapies puissent avoir des effets toxiques pour ces tissus. De nombreux effets indésirables cutanés ont ainsi été rapportés chez les patients atteints de cancer sous traitement. La fréquence et la sévérité de ces effets indésirables sont très variables d’une personne à une autre, en fonction des médicaments et des doses administrés, ainsi que de la sensibilité individuelle.
Ces événements toxiques mettent rarement en jeu le pronostic vital. Ils sont généralement réversibles après un traitement symptomatique, une adaptation des posologies, un changement ou un arrêt du traitement qui a entraîné l’effet indésirable. Cependant, ils peuvent avoir des répercussions importantes : sur le plan physique en raison des douleurs et des désagréments qu’ils sont susceptibles d’entraîner ; sur le plan psychologique, compte tenu du caractère visible des symptômes.

  • L’hyper-pigmentation, est un phénomène qui correspond à un changement de la coloration (pigmentation) de la peau et/ou des ongles. Une décoloration des dents peut également survenir. Elle se traduit par la survenue de tâches brunâtres ou violacées plus ou moins prononcées. Celles-ci peuvent être localisées au niveau du site d’injection des médicaments, suivre le trajet des veines perfusées ou se diffuser à d’autres zones du corps et être plus ou moins étendues. Cet effet indésirable peut également toucher les ongles avec l’apparition de bandes transversales ou longitudinales. Bien qu’elle n’ait pas de conséquence pour la santé, l’hyper-pigmentation est difficile à accepter, notamment lorsque les tâches sont visibles. De plus, celles-ci mettent du temps à se résorber après la fin du traitement, souvent après plusieurs mois ou années. Elle peut être définitive.
    En règle générale, il est conseillé d’éviter de s’exposer au soleil et d’appliquer régulièrement de l’écran solaire.
  • Lorsqu’elle survient, la décoloration des dents est, de son côté, toujours persistante, même après l’arrêt du traitement. Il faut alors recourir à des soins dentaires pour masquer les tâches. Il n’existe pas de moyens parfaitement efficaces de prévenir ou d’atténuer cet effet indésirable.
  • Diverses formes d’éruption cutanées peuvent survenir. Avec certains médicaments, ces éruptions ressemblent à de l’acné et se développent sur le visage, le cuir chevelu, le torse et/ou le haut du dos. Ces éruptions peuvent survenir rapidement, sept à dix jours après le début du traitement. Les lésions provoquent souvent des démangeaisons et peuvent être douloureuses. Cependant, en règle générale, elles disparaissent une fois le traitement terminé (roche.fr)
  • Concernant les Problèmes de peau, Certains types de médicaments ciblés risquent de causer des problèmes de peau en cours de traitement et pendant un certain temps par la suite. La peau peut devenir rouge, démanger, s’assécher et commencer à peler ou à craquer. Vous pouvez aussi avoir une éruption cutanée ou de l’acné. La région entourant le point d’injection peut enfler ou rougir. Il arrive que, peu de temps après l’injection, une éruption cutanée apparaisse autour du point d’insertion de l’aiguille.
  • Les ongles peuvent aussi subir des changements à cause du traitement ciblé. La peau tout autour des ongles risque d’enfler et de rougir et des fissures ou des lésions ouvertes peuvent apparaître.
  • Quand une radiothérapie est administrée en même temps qu’un traitement ciblé, les problèmes de peau ont tendance à être plus graves. Les effets sur des tissus non malades provoquent alors une inflammation, qui se traduit par des sensations d’échauffement ou de brûlure dans la zone irradiée, en particulier à la surface de la peau ou au niveau des muqueuses.

Connectivité mixte

Maladie regroupant les caractéristiques du lupus érythémateux systémique, de la sclérose systémique et de la polymyosite. Avec des symptômes typiques comme le Syndrome de Raynaud, des douleurs articulaires, différentes anomalies cutanées, une faiblesse musculaire et des problèmes au niveau des organes internes.

Les symptômes typiques de la connectivité mixte sont le syndrome de Raynaud (les doigts deviennent brusquement très pâles et fourmillent ou deviennent insensibles ou bleus en réponse au froid ou à une émotion), une inflammation articulaire (arthrite), un gonflement des mains, une faiblesse musculaire, des difficultés à déglutir, des brûlures d’estomac et un essoufflement. Le phénomène de Raynaud peut précéder de plusieurs années les autres symptômes. Indépendamment de la façon dont la connectivité mixte débute, elle tend à s’aggraver et les symptômes se propagent à de différentes régions de l’organisme.

  • Le diagnostic repose sur les symptômes et les résultats des analyses de sang pour déterminer les taux d’anticorps caractéristiques.
  • Le traitement varie selon la sévérité des symptômes et peut inclure des anti-inflammatoires non stéroïdiens, de l’hydroxychloroquine, des corticoïdes, des immunosuppresseurs, ou une association de ceux-ci.

Des éruptions de type lupus peuvent se développer. Des modifications cutanées comme celles de la sclérose systémique peuvent également apparaître, comme une induration de la peau des doigts. Les cheveux peuvent être clairsemés.

Pratiquement toutes les personnes atteintes de connectivité mixte ont des articulations douloureuses. Près de 75 % des personnes présentent un gonflement et une douleur typiques de l’arthrite. La connectivité mixte altère les fibres musculaires. Les muscles peuvent donc s’affaiblir et devenir douloureux, notamment au niveau des épaules et des hanches. Lever les bras au-delà des épaules, monter les escaliers et se relever d’une chaise peuvent devenir très difficiles.

Les poumons sont touchés par la connectivité mixte chez 75 % des personnes atteintes de la maladie. Il peut se former un épanchement dans les poumons ou dans la plèvre. Chez certaines personnes, l’atteinte la plus sévère est une anomalie de la fonction pulmonaire, qui provoque un essoufflement à l’effort. Les maladies pulmonaires interstitielles, qui affectent le tissu entourant les alvéoles des poumons, sont les problèmes pulmonaires les plus courants. L’hypertension pulmonaire, affection caractérisée par une valeur anormalement élevée de la tension artérielle dans les poumons (artères pulmonaires), constitue une cause majeure de décès.

Le cœur est parfois affaibli, ce qui entraîne une insuffisance cardiaque. Les symptômes d’insuffisance cardiaque comprennent la rétention de liquides, l’essoufflement et la fatigue. Les reins ne sont atteints que chez 25 % des personnes et l’atteinte est généralement modérée par rapport aux lésions occasionnées par le lupus. Les autres symptômes peuvent être la fièvre, un gonflement des ganglions lymphatiques et des douleurs abdominales.

Il peut se développer un syndrome de Sjögren. Avec le temps, la plupart des personnes présentent des symptômes plus caractéristiques du lupus ou de la sclérose systémique.

Traitement de la connectivité mixte

  • Anti-inflammatoires non stéroïdiens, hydroxychloroquine ou très faibles doses de corticoïdes pour les formes légères de la maladie
  • Corticoïdes et immunosuppresseurs pour les formes modérées à sévères de la maladie

Autres traitements si nécessaire pour les autres symptômes de la connectivité mixte

Le traitement de la connectivité mixte est similaire à celui du lupus, de la sclérose systémique et de la myosite auto-immune.

Les corticoïdes sont généralement efficaces, en particulier lorsque la maladie est diagnostiquée précocement. Les formes peu graves peuvent être traitées par des anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS), de l’hydroxychloroquine ou des médicaments analogues ou par des doses très faibles de corticoïdes. Plus la maladie est sévère, plus la dose requise de corticoïdes nécessaire est élevée. Dans les cas modérés à sévères, des immunosuppresseurs (azathioprine, méthotrexate ou mycophénolate mofétil, par exemple) peuvent également être nécessaires. Les personnes dont les organes principaux sont sévèrement affectés requièrent généralement des doses plus élevées de corticoïdes et d’autres immunosuppresseurs.

En général, plus la maladie est avancée et plus l’atteinte organique est importante, moins le traitement est efficace. Une atteinte de la peau et de l’œsophage semblable à celle de la sclérose systémique est le type d’atteinte qui répond le moins au traitement.

Les personnes qui développent une myosite ou une sclérose systémique sont traitées selon leurs symptômes. Les personnes atteintes du phénomène de Raynaud sont traitées selon leurs symptômes et peuvent recevoir un inhibiteur calcique (tel que la nifédipine) et des médicaments qui augmentent le débit sanguin (tels que le sildénafil ou le tadalafil).

Les personnes qui prennent des corticoïdes présentent un risque de fracture lié à l’ostéoporose. Pour prévenir l’ostéoporose, ces personnes peuvent recevoir des médicaments qui traitent l’ostéoporose, comme des bisphosphonates et un supplément de vitamine D et de calcium. Les personnes recevant des immunosuppresseurs prennent également des médicaments pour prévenir les infections fongiques à Pneumocystis jirovecii par exemple (voir Prévention de la pneumonie chez les personnes immunodéprimées).

Les personnes atteintes de connectivité mixte sont exposées à un risque accru d’athérosclérose, doivent rester sous étroite surveillance médicale et sont traitées pour les symptômes et complications spécifiques de l’athérosclérose au fur et à mesure qu’ils apparaissent.

Les médecins peuvent continuer à surveiller les personnes atteintes de connectivité mixte à la recherche d’une hypertension pulmonaire en réalisant des épreuves fonctionnelles respiratoires, une échocardiographie, ou les deux tous les 1 à 2 ans, selon les symptômes.

Maladie de Crohn,

Affection inflammatoire chronique qui peut toucher tous les segments du tube digestif (œsophage, estomac, intestin grêle, colon, rectum, anus). Le plus fréquemment, elle atteint la terminaison de l’intestin grêle (iléon terminal), le côlon ou l’anus.

Symptômes digestifs :

Les principaux signes de la maladie de Crohn sont intestinaux :

  • Des douleurs abdominales
  • Une diarrhée chronique (pendant plus de deux semaines)
  • Une douleur et/ou un saignement anal.
  • Ces symptômes peuvent engendrer une perte d’appétit et un amaigrissement.
  • Une fièvre et de la fatigue peuvent aussi être présentes.

Signes non digestifs :

Les crises peuvent s’accompagner de manifestations ne touchant pas l’intestin (elles sont dites « extra-digestives »). Elles peuvent toucher les articulations (rhumatisme, arthrite, spondylarthrite), la peau (l’érythème noueux est l’une des plus fréquentes de ces manifestations cutanées), la bouche (aphtes), les yeux (uvéite, une inflammation de l’iris). On constate aussi que le psoriasis est plus fréquent en cas de maladie de Crohn.

Lupus

Maladie chronique, d’origine auto-immune, Il y a dérèglement du système de l’immunité, chargé de défendre notre corps contre les agressions externes et internes. Diversité des causes et grande variété des atteintes possibles (maladie systémique) avec problèmes de peau, articulations, reins, cœur et cerveau….

Dans le cas du lupus, l’activité anormale des cellules de défense de notre corps, les lymphocytes, entraîne une agression de différents composants de tous les organes de notre corps : la peau, les articulations, le rein, le cœur, le cerveau… Le Lupus est donc la conséquence d’une hyper activité immunitaire.

Dans une des formes particulières de la maladie, le lupus discoïde, les plaques peuvent laisser des cicatrices irréversibles et modifier la coloration de la peau, comme sur le visage du chanteur américain Seal.

La maladie affecte fréquemment les reins (30 % des cas).

Les articulations sont souvent touchées, provoquant des douleurs caractéristiques. Ce sont des douleurs inflammatoires. Elles sont indépendantes de l’activité physique. Elles se manifestent typiquement le matin au réveil avec, par exemple, des doigts qui font mal et qui sont rouillés.

La fatigue est très présente, particulièrement en période de poussée, et concerne deux-tiers des patients de manière significative.

Du fait de la diversité des causes et de la grande variété des atteintes possibles (maladie systémique), l’expression de la maladie sera différente pour chaque individu. Elle peut être exclusivement cutanée (sans aucun risque d’atteinte ultérieure d’un organe vital), ou plus diffuse et touchant plusieurs organes, ce qui peut conduire à des atteintes sévères si la maladie n’est pas bien traitée.

Acné

Maladie inflammatoire de la peau. L’acné est une maladie de peau fréquente, causée par l’inflammation des glandes sébacées. L’acné apparaît le plus souvent à l’adolescence. Le plus souvent bénigne, elle peut dans certains cas revêtir des formes sévères, avec des boutons sur le visage, le cou, le thorax et parfois le dos. Découvrez les causes, les traitements et les mythes qui entourent cette maladie d’origine hormonale.